Une Nouvelle Prof Prise Au Piège 02
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Je suis allée dans ma classe pour déjeuner. Pas le cœur de m’installer en salle des profs. Les messages s’étaient tus. Je pouvais enfin respirer. C’est en mangeant mon sandwich que j’ai pris la décision de me faire porter pâle pour l’après-midi. Jean était parti ce matin pour quelques jours, et son oncle, de passage à Paris, venait dans notre appartement pour y passer une semaine. Je le savais hyper calé en informatique, et je décidais que c’était à lui qu’il fallait demander conseil pour nettoyer mon ordinateur de ce virus qui m’envoyait des messages.
Je traversai les couloirs jusqu’au bureau de Régis, mon directeur, et frappai doucement. Il me reçut, le regard plus torve que jamais. Cela me perturba, et après avoir balbutié quelques mots, je lui expliquais que je me sentais mal, et qu’il fallait que je prenne mon après-midi.
– Je comprends Emilie, me répondit-il. Et en même temps, c’est pas très professionnel. Je ne sais pas si je peux soutenir ta demande. Ce serait te couvrir pour des raisons qui te sont personnelles…
J’insistais, lui expliquant qu’il m’était impossible de me concentrer. Que mes élèves n’apprendraient pas grand chose de moi dans cet état. Régis constata ma respiration rapide. Sembla plus empathique. Il me dit qu’il voulait bien me couvrir, mais que pour ce faire, il fallait que je me fasse persuasive. Je me décomposai…
– Monte ton débardeur pour que je vois tes seins. Si tu me fais ce plaisir, je te ferai peut-être le tien.
J’eus un coup de chaud, et sentis une colère monter en moi. J’essayai de lui faire entendre raison, mais je compris bien vite que mon salut passerait par le fait de lui obéir. Je le maudissais intérieurement. À deux mains, je saisis le bas de mon top et le remontai d’un geste jusqu’à mes épaules, libérant à sa vue ma poitrine ferme et mes têtons pointés de stress. Il sourit.
– Approche-toi de moi Emilie, ajouta-t-il.
Toujours ce tutoiement avilissant qui me mettait dans une rage sourde mais profonde. Je contournai son bureau et remarquai horrifiée que son sexe était à nouveau dressé. Il était entièrement nu sous la table. Sur son bureau, les copies de mes photos étaient devant lui. Je fis un pas en arrière, mais d’un regard sévère, il me commanda de venir à ses côtés. Saisissant son téléphone, il me dit assez sèchement de lui sourire. Que ce serait un bien plus beau souvenir de capter ma grande bouche heureuse, qu’il voulait me voir épanouie, rayonnante et reconnaissante du mal qu’il se donnait. Je le regardai méchamment, et forçai un immense sourire. Il me fixa alors avec son téléphone, et commença à prendre des clichés de moi tenant mon débardeur au dessus de mes seins, et lui souriant à pleines dents.
– Que tu es belle, c’est délicieux, continua-t-il. Allez viens t’asseoir quelques instant sur mes genoux.
Je m’approchai, et alors que je m’asseyai, il remonta d’un geste ma mini-jupe au dessus de mes fesses.
– Mais quelle salope! Tu n’as pas de culotte, constata-t-il! Et ta chatte est parfaitement lisse! Allez assied-toi.
Il posa son téléphone, alors que la peau de mes cuisses entrait en contact avec la peau des siennes. Son sexe dressé était érigé entre mes jambes, droit comme un “I”, et si vertical qu’il se plaqua contre ma fente parfaitement douce. Mon directeur gémit, et m’ordonna de le branler, alors qu’il commençait à caresser mes seins à pleine main. Comprenant que si je voulais que mon calvaire cesse vite, il fallait que je le fasse jouir le plus rapidement possible, je posais ma main sur son sexe, et me mis à le caresser. Les mouvements que j’entreprenai m’obligeaient à frotter son membre contre mon sexe. Son gland était pressé contre mon clitoris. Je me détestais : le frottement contre mon intimidé faisait naître en moi quelques sensations agréables. Je commençai à le masturber plus rapidement, et je sentis qu’il n’allait pas tenir longtemps. Heureusement car le frottement contre ma fente qui s’humidifiait réveillait en moi une envie irraisonnée de jouir. Et c’était hors de question dans un contexte comme celui-là! Sa caresse sur mes seins était devenue plus hardie, et il me pinçait maintenant les têtons d’un manière qui était assez douloureuse. Je poussai de petits cris tout en continuant à agiter son chibre de haut en bas avec énergie. Régis poussa un râle, et me saisissant par les cheveux, il me tira sur le côté m’obligeant à choir, genoux au sol, puis ramena mon visage à son entrejambe d’un geste décidé. Il pressa à deux mains mon crâne vers son énorme queue. Je résistais un instant, les lèvres frôlant son gland, et une première giclée s’écrasa sur mon visage.
– Bouffe-moi, et avale petite pute, me cria-t-il.
J’ouvris la bouche pour protester, et il poussa ma tête avec tant de force que son sexe entra d’un coup au fond de ma gorge. J’étouffais alors qu’il maintenait mon visage contre lui. Il giclait dans ma bouche, me commandant de tout avaler. Je fermai les yeux, m’exécutant, menaçant de vomir, mais je savais que je n’avais pas le choix. Je déglutissai, avalant sa semence. Il me trabzon escort somma de le regarder dans les yeux, et de ne plus le lâcher du regard. Alors, levant les pupilles vers lui, je le vis, une fois encore, son smartphone à la main, qui me photographiait à nouveau, sans discontinuer.
Quand il lâcha enfin ma tête, je relevai doucement mon visage, et reçus un jet épais sur le visage, dans le nez et sur les lèvres, un autre encore dans le cou, et sur les seins. J’étais effarée par la quantité de sperme qu’il lâchait, et je me fis la remarque qu’il devait être excité comme rarement pour déverser autant de foutre. Mon directeur, en jouissant, m’ordonnait de lui sourire en me caressant la poitrine. Il ajouta que le sperme sur ma petite bouille m’allait vraiment bien. Je lui souris comme je pus, me laissant immortaliser ainsi dégradée.
Lorsque je me relevai, Régis m’ordonna de me mettre dos à lui. Je me tournai, lui dévoilant mes fesses que ma jupe ne couvrait pas. Il lâcha un ” Bon dieu, mais tu es splendide”, tout en pointant son appareil vers moi. Après avoir pris quelques photos encore, il me claqua la fesse droite avec force, me disant que j’avais mon après-midi, mais pas plus.
_________
Il était 13h passées, et je rentrai rapidement chez moi. Richard, l’oncle de Jean, m’accueillit et rapidement se rendit compte que je n’allais pas bien. Alors sans plus attendre, je lui déballai toute l’histoire : l’ordinateur oublié, les photos, les messages, mon directeur, mes seins maltraités, la fessée…
Richard m’écoutait attentivement alors que je lui avouais que je comptais sur lui pour débarrasser mon ordinateur de ce foutu virus ou je ne sais quoi.
Mon téléphone vibra. J’avais reçu un message de mon directeur. En l’ouvrant, je me figeai. Il y avait une des photos de moi me caressant les seins, avec une grosse tâche de sperme bien visible sur le visage, en grand sourire vers l’objectif. J’avais l’air satisfaite, et totalement consentante! Un sms y était joint : “Emilie, c’est rare de voir une femme si heureuse. Merci de m’avoir séduit.” Je fondis en larmes. Richard s’inquiéta. Pour toute réponse, je lui tendis l’appareil. Il allait se rendre compte de mon calvaire.
Richard regarda longuement la photo, en silence d’abord, puis me disant que c’est vrai que j’avais l’air d’aimer ça. Que la photo pouvait vraiment prêter à confusion. Que mon directeur était habile. Que c’était fascinant.
Et il me proposa qu’on se mette au travail sur l’ordinateur tout de suite.
Il ne voulait pas se mettre face à mon ordinateur. Mon bel-oncle me demanda de copier tous mes dossiers sur le disque dur externe qu’il me tendit, ouvrant son propre ordinateur pour ensuite analyser tout ça. Lorsque je lui rendis le disque dur avec les dossiers copiés au bout d’une petite demi-heure, il me dit d’aller prendre une douche, que ça me ferait du bien. Qu’il allait chercher le problème.
Je le remerciai mille fois, lui disant que son soutien me faisait déjà beaucoup de bien, que pouvoir me confier me débarrassait d’un poids, et que je comptais beaucoup sur lui ; puis j’allais dans ma salle de bain.
Au bout d’un quart d’heure de cogitations sous la douche, à tourner et retourner mon atroce matinée dans ma tête, je revins au salon avec une serviette autour de mes cheveux mouillés, et une autre enroulée autour de mes seins, descendant jusque sous mes fesses. Je me sentais légère.
Richard était penché sur son écran, et alors que je m’installais sur le canapé à ses côtés, je vis une photo de moi nue, en plein écran, les seins bombés, mon immense sourire aux lèvres maquillées d’un rouge très rouge, les pieds dans les mains, les jambes complètement relevées. Mon sexe parfaitement épilé et mon anus semblaient appeler à être remplis. Et mon sourire semblait dire : “Enfonce-moi ton sexe. Je te fais bander hein? Je suis ton objet. Fais de moi ce que tu veux”.
J’étais totalement consciente du pouvoir évocateur des poses que je prenais pour Jean, et des mimiques que je lui adressais et que l’objectif captait. Mais là, de voir l’oncle de Jean détailler cette photo de moi me renvoyait en plein visage la puissance du pouvoir pornographique de cette photo.
Je ne pus m’empêcher de ressentir une gêne immense, et me mis à rougir. Je regardai Richard, mon bel-oncle, interrogatrice. Il ouvrit la bouche, sans quitter la photo des yeux, pour me dire qu’il essayait de se mettre dans la peau de ce maître-chanteur pour mieux comprendre comment il agissait. Puis, ayant fini sa phrase, son regard quitta l’écran pour se poser sur moi. Son expression avait changé. Me parlant, il me détaillait de haut en bas, s’attardant sur mes jambes et mes pieds nus.
– Tu vas parler à Jean de cette affaire, me questionna-t-il?
– Bien sûr que non, rétorquais-je! Il serait démoli de savoir ça!
– Je pense que tu as raison, répondit-il calmement. Il vaut mieux régler ça sans l’inquiéter.
En disant cela, il avait posé sa main sur une de mes jambes. Son contact se voulait sûrement tunceli escort rassurant, mais je me sentis terriblement gênée.
– On va s’attaquer à ça ensemble, continua-t-il, et je saurai garder le secret ne t’en fais pas. Ça serait dommage que Jean ait tant de peine qu’il veuille te quitter pour cette histoire.
Et il ajouta :
– D’abord, je pense qu’il faut vérifier si tes seins ou tes fesses n’ont pas de marques suite à l’attouchement appuyé de ton directeur.
Je le regardais perplexe.
– Crois-moi, surenchérit-il. Rien de mieux que des marques pour prouver que tu as été violentée.
Mes réflexions ne firent qu’un tour. Il n’avait pas tort. De toute façon, Richard était le seul qui pouvait m’aider à régler ça vite. Il fallait tenter le tout pour le tout. Hors de question que mon calvaire dure une année entière.
– Ton idée est bonne Richard, lui répondis-je. J’ai besoin qu’on trouve des solutions vite.
– Tu as raison de me faire confiance, dit-il. Je suis le seul à pouvoir te sortir de cette situation. Allez, ne tardons pas, retire ta serviette.
Je le fixai dans les yeux. L’idée était bonne, mais tellement gênante… Et son regard…
Je me secouais Il ne fallait pas que je devienne parano! J’avais toujours pu me fier à Richard. Jean l’adorait et faisait souvent l’apologie de son grand cœur. Je me levai, me mettai face à mon bel-oncle, et dénouai le tissu, le jetant sur le canapé. J’étais totalement nue. Les yeux de Richard se posèrent sur mon sexe glabre et s’y attardèrent.
– Je vais prendre des photos, et demain, je les détaillerai pour voir si je n’y vois pas des marques, dit-il en saisissant son téléphone. C’est le meilleur moyen pour qu’on soit sûrs de ne passer pas à côté du moindre détail.
Encore des photos aujourd’hui! L’idée était désagréable. Je ne bougeai pas, alors qu’il commençait à pointer son téléphone vers moi.
– Dépêche-toi. Manipule tes seins lentement dans tous les sens pour commencer. Il faut que je puisse en analyser chaque détail ensuite, lança-t-il.
Allez, je devais prendre sur moi. Richard agissait pour mon bien. Et il ajouta avec un léger rictus :
– Par contre, pour le coup, tu dois me faire des grands sourires parce que je ne voudrais pas être taxé de salopard!
Je feignis d’en rire mais trouvais la demande limite. Pourtant je me convainquis qu’il avait raison. C’est un homme qui avait toujours été attentif à moi, quelqu’un que j’avais toujours estimé. Je me mis à lui sourire tout en soulevant doucement mes seins. Il prit une première photo. Je tirai ensuite lentement ma poitrine dans un sens puis dans l’autre. Richard regardait son appareil avec satisfaction, prenant photo sur photo.
– C’est ça, souris-moi bien, continua-t-il. Il faut que j’ai de la matière pour pouvoir trouver la faille.
Et je tournais mes seins fermes, les comprimant à sa demande, et lui souriant pleinement alors qu’il prenait frénétiquement des photos.
– C’est bien ma belle, surenchérit-il. Regarde-moi bien dans les yeux. Ton sourire est parfait. Place tes mains sous tes seins pour les soulever.
Je faisais ce que me disait Richard alors qu’il me prenait sous tous les angles. Il me commandait de les presser l’un contre l’autre, puis de les lâcher. Ensuite, il me fit mettre les mains dans le dos, en bombant la poitrine, m’encourageant à toujours plus pointer ma poitrine vers lui tout en souriant avec mon immense bouche. Il prenait des gros plans, des plans plus larges. Parfois il s’éloignait tant que je me demandais comment il pourrait voir les marques potentielles.
Quand il considéra que c’était suffisant, il me dit :
– Bon, je crois que pour tes seins on a ce qu’il faut. On va regarder au niveau de tes fesses maintenant. Tu m’as dit qu’il t’avait claqué les fesses. Agenouille-toi au pied du canapé et penche-toi bien en avant, conseilla-t-il. Plus la peau de tes fesses sera tendue, plus les marques seront visibles.
Je le regardais interrogatrice, puis décidais de ne pas trop réfléchir. Mon bel-oncle avait du recul et je devais me fier à lui. Je m’exécutai donc, me mettant à genoux face au canapé, me penchant en avant pour poser mes coudes sur l’assise alors que mon bel-oncle se levait pour se mettre derrière moi.
-Allez, tourne ton visage vers moi. Il faut qu’on voie que c’est bien toi. Et souris-moi bien sûr!
Je tournai le visage vers l’objectif, et recommençai à lui sourire de toutes mes dents alors que le flash reprenait du service. La position était humiliante. Être à quatre pattes comme ça devant Richard était une situation tellement improbable!
– C’est bien, tends bien tes fesses pour que je vois chaque parcelle de ta peau. Ça serait dommage de manquer les détails qu’on recherche.
Je tendai les fesses, pointant mes pieds machinalement dans l’effort.
– Cambre-toi encore, au maximum ma belle Émilie. C’est bien ça, on va y arriver!
Je me cambrais à l’extrême, tendant mes fesses vers lui. J’ai le dos très souple, et je me uşak escort savais dans une position terriblement érotique. Mais je me violentais pour en faire abstraction. J’essayais de garder mon plus beau sourire tout en fixant l’objectif qui captait des dizaines de photos. Richard me photographiait sous tous les angles, tantôt au dessus de moi, tantôt derrière moi, parfois depuis le ras du sol près de mes pieds. J’essayais, à sa demande, de suivre l’objectif du regard malgré ses déplacements, tout en forçant des rires sincères et heureux.
– Ferme un peu les yeux maintenant, je vais prendre des gros plans. Il faut que tu sois bien détendue, et tu seras moins gênée si tu ne vois rien…
Je fermai les paupières et essayais de ne pas penser à toutes ces photos qu’il immortalisait, sur lesquelles mon sexe et mon anus étaient être totalement offerts dans la position dégradante dans laquelle j’étais. Je cambrais mes fesses au maximum, avec cette impression de n’être qu’un objet sexuel, comme je l’étais pour mon copain quand je posais pour l’exciter. Je crus alors entendre un bruit de fermeture-éclair, et un froissement de vêtements. Ce n’était pas possible. Non, je devais rêver, lui ne ferait pas une chose pareille.
Quelques instants plus tard, il me commanda de placer mes mains sur mes fesses, et de bien les ouvrir pour voir s’il n’y avait pas des marques mal placées. Je sentis ma honte grandir encore et pourtant je m’obligeais à garder confiance. Je saisis donc à contre-coeur mon cul à pleines mains et commençai à l’écarter. Je sentais mon anus s’épanouir, tout offert, et mon sexe également. Richard prenait des photos, m’intimant de bien agripper mes fesses pour mieux les éloigner encore. J’avais beau essayer de me raisonner, la situation me rendait terriblement mal à l’aise. J’avais la tête écrasée sur le canapé puisque mes mains tenaient mes fesses ouvertes. Mes seins étaient compressés sur les coussins, et toute mon intimité parfaitement exposée. Je sentis une main se poser sur mes cheveux, et commencer à appuyer, écrasant doucement puis fermement mon visage sur le canapé.
– Richard, lançais-je? C’est terminé?
– Non pas encore ma belle, souffla-t-il. Reste bien cambrée, et respire.
Et là tout se passa très vite. Je sentis un contact sur mon anus, puis immédiatement une pression extrême et soutenue, puis une pénétration. Je criais en ouvrant les yeux, alors que déjà je sentais son énorme gland inséré dans mon trou vierge de toute pénétration!
Le poids sur mon anus était d’une intensité telle que la douleur m’était insupportable. Je voulus me dégager, mais ma tête était plaquée avec force tandis que, par accoups, son sexe continuait à s’insérer.
– Ton directeur a raison Émilie, me cria-t-il, haletant. Avec un sourire pareil sur des photos, personne ne peut croire que tu n’es pas consentante. Même Jean, si je lui disais que tu m’as accueilli comme ça et que je t’ai prise avec mon appareil pour lui montrer la salope allumeuse que tu es, ne te croirait pas si tu affirmait le contraire.
J’essayais de me débattre, mais en vain. Son sexe me clouait et chaque mouvement accentuait la douleur qui était insoutenable. De sa main sur ma tête, il avait attrapé fermement mes cheveux qui s’étaient dégagées de la serviette qui les entourait, et de l’autre il avait saisit une de mes fesses, qu’il écartait pour mieux s’insérer.
– Regarde un peu sur la gauche, me lança-t-il.
Je tournai la tête. Le bâtard! Je me vis en direct sur l’écran de son smartphone qui filmait la scène. Les puissants coups de bite me faisaient grimacer alors que son sexe peinait à rentrer plus dans mon trou étroit.
– Richard je t’en prie, supplai-je. C’est terriblement douloureux. Je n’ai jamais accepté que l’on m’encule!
Il plaqua son corps au mien, collant sa bouche à ma joue, maintenant mon visage tourné vers l’objectif en me soufflant:
– Regarde l’appareil Émilie. C’est encore plus excitant de savoir que ton anus est vierge. C’est beau de te voir prendre ta première bite dans le cul. Regarde comme tu es belle et touchante.
Je n’arrivais pas à détourner le regard de l’appareil sur lequel je pouvais me voir grimaçante, avec sa sale respiration sur ma joue, encaissant d’énorme coups de sa bite gigantesque. Je pointais mes pieds de douleur, et essayais de cambrer mon cul du plus que je pouvais pour atténuer l’impression d’écartèlement.
Maintenant, Richard me maintenait le buste puissamment plaqué au canapé en appuyant de ses mains sur mes deux épaules. La tête coincée, j’avais du mal à reprendre ma respiration alors que des larmes commençaient à embuer mes yeux. L’homme entrait et sortait violemment la moitié de sa bite de mon petit trou à un rythme soutenu. Je me sentais remplie. Mon anus me brûlait. Je le supplais de s’arrêter, allant jusqu’à lui promettre que je ne raconterai rien.
– De toute façon, s’amusait-il, tu ne peux rien dire avec les clichés que j’ai de toi. Personne ne te croirait avec les beaux sourires que tu m’as fait sur les photos, et les pauses de salope que tu as prises. On voit bien que tu m’allumais. C’est bien fait pour toi. Tu as ce que tu mérites, continuait-il en insérant à chaque fois un peu plus son sexe. Il faut réfléchir avant d’agir Emilie. Tu devrais remercier ton bel-oncle de t’apprendre à penser avant d’agir.
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